Are. […] je suis temoin que Rafael n’avoit point honte d’attacher dans son cabinet les estampes d’Albert [ndr : Dürer], & qu’il les louoit infiniment : & quand il n’auroit eu autre merite que la gravûre ; ses planches suffiroient pour l’immortaliser, qui avec une delicatesse incomparable representent la verité, & la vivacité du naturel, de maniere que ces ouvrages ne paroissent pas dessinés, mais peints ; non seulement peints, mais vivans.