LEFÈBVRE, Claude ( 1632-1675 )
Peintre et graveur français
Quotation
Je croy, interompit Pymandre, qu’en effet un Peintre ne doit pas ignorer la Phisionomie pour bien connoistre & bien peindre les differentes inclinations des hommes.
Cela est vray, répondis-je, si celuy qui peint veut donner une parfaite expression à ses visages, bien marquer leur temperament, & representer mesme jusques aux pensées qui peuvent les occuper. Mais ce n’est pas de cette maniere sçavante que le Fevre traitoit ses ouvrages ; cette force d’expressions où l’on voit un veritable caractere des passions & du naturel des hommes ne se rencontroit pas dans tous les sujets qu’il representoit.
Quotation
Je croy, interompit Pymandre, qu’en effet un Peintre ne doit pas ignorer la Phisionomie pour bien connoistre & bien peindre les differentes inclinations des hommes.
Cela est vray, répondis-je, si celuy qui peint veut donner une parfaite expression à ses visages, bien marquer leur temperament, & representer mesme jusques aux pensées qui peuvent les occuper. Mais ce n’est pas de cette maniere sçavante que le Fevre traitoit ses ouvrages ; cette force d’expressions où l’on voit un veritable caractere des passions & du naturel des hommes ne se rencontroit pas dans tous les sujets qu’il representoit.
Quotation
Je croy, interompit Pymandre, qu’en effet un Peintre ne doit pas ignorer la Phisionomie pour bien connoistre & bien peindre les differentes inclinations des hommes.
Cela est vray, répondis-je, si celuy qui peint veut donner une parfaite expression à ses visages, bien marquer leur temperament, & representer mesme jusques aux pensées qui peuvent les occuper. Mais ce n’est pas de cette maniere sçavante que le Fevre traitoit ses ouvrages ; cette force d’expressions où l’on voit un veritable caractere des passions & du naturel des hommes ne se rencontroit pas dans tous les sujets qu’il representoit.
Quotation
Je croy, interompit Pymandre, qu’en effet un Peintre ne doit pas ignorer la Phisionomie pour bien connoistre & bien peindre les differentes inclinations des hommes.
Cela est vray, répondis-je, si celuy qui peint veut donner une parfaite expression à ses visages, bien marquer leur temperament, & representer mesme jusques aux pensées qui peuvent les occuper. Mais ce n’est pas de cette maniere sçavante que le Fevre traitoit ses ouvrages ; cette force d’expressions où l’on voit un veritable caractere des passions & du naturel des hommes ne se rencontroit pas dans tous les sujets qu’il representoit.