Il faut donc dans la Peinture quelque chose de grand, de piquant, d’extraordinaire, capable de surprendre, de plaire, d’instruire, & c’est ce qu’on appelle le grand Goût : c’est par lui que les choses communes deviennent belles, & que les belles deviennent sublimes & merveilleuses ; car en Peinture le Grand Goût, le Sublime & le Merveilleux ne sont que la même chose.