SCHAMPING (n. f.)

BLANC, Jan, Peindre et penser la peinture au XVIIe siècle : la théorie de l'art de Samuel van Hoogstraten, Berne, Peter Lang, 2008.

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Quotation

Schamping is, wanneer het licht niet vlak op de dingen straelt, maer noes, gelijk langs heenen, en kan zeer bequaem in een ronde pilaer aengewezen worden: want het licht heeft alleen zijn volle kracht ter plaetse, daer 't allernaest is: komende door de ronde omwijking meer en meer te schampen, tot dat het zich eindlijk geheel in schaduwe verliest.

[BLANC J, 2006, p. 404] On parle de "lumière rasante", quand la lumière ne rayonne pas à plat sur les choses mais obliquement, comme si elle les longeait, et l'on peut très aisément le montrer sur une colonne ronde. La lumière n'a sa pleine force qu'à l'endroit le plus proche d'elle, venant de plus en plus à raser l'entour rond, jusqu'à se perdre enfin totalement dans l'ombre.

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EFFET PICTURAL → qualité de la lumière

Quotation

[...] ik wil datmen deeze verwen  [ndr : witt en mastekott] alleen met d' alderklaerste lichten vergelijke, en haer dus met zijn gedachten in den eersten graet stelle. In den tweeden graedt stellen wy, als half verlicht, de schampingen, en vergelijken die met onze mezetinte, of half-verwen op de bruinte van ookers. In den derden graet stellen wy, als maer een vierdepart verlicht de gemeene reflexien of wederglansen, deurschijningen, en al wat in de schaduwe eenige kennelijkheyt verooorzaekt; en vergelijken die tegens bruin root. De rechte schaduwen, die echter noch eenich scheemerlicht deelachtich zijn, als misschien een achtste deel, stellen wy in den vierden graet: en vergelijken die met omber. Maer de holle dieptens, die van alle licht of wederglans berooft zijn, stellen wy in den vijfden en laetsten graedt, en vergelijken die met onze zwarten, en alderdiepste verwen.

[BLANC J, 2006, p. 408] [...] Je souhaite seulement que l'on compare ces couleurs [ndr: le blanc et le massicot] avec les lumières les plus claires et qu'on les place ainsi, par la pensée, au premier degré. Au deuxième, nous plaçons tout ce qui est pour ainsi dire à moitié éclairé, les lumières rasantes, et nous les comparons à nos "mezzotintes" dans la teinte des ocres. Au troisième degré, nous plaçons ce qui semble n'être qu'éclairé au quart, comme les réflexions ou les reflets ordinaires, les objets translucides et tout ce qui cause dans l'ombre quelque distinction, et nous les comparons au brun-rouge. Au quatrième degré, nous plaçons les vraies ombres qui contiennent cependant quelque trouble lumière, qui semblerait en représenter un huitième, et nous comparons cela à l'ombre. Mais au cinquième et dernier degré, nous plaçons les trous profonds, privés de toute lumière ou de tout reflet, en les comparants à nos noirs et à nos couleurs les plus sombres.

Conceptual field(s)

EFFET PICTURAL → qualité des couleurs
EFFET PICTURAL → qualité de la lumière