EDELINCK, Gérard ( 1640-1707 )

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Graveur flamand, "excellent graveur de Portraits au Burin" selon Charles-Nicolas Cochin (préface de l'éditeur, p. XXIII). Il pourrait s'agir de : - EDELINCK Jean, 1643-1680 ; - EDELINCK Nicolas-Estienne 1681-1767.

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De la façon de conduire les Tailles.
Premierement on doit regarder l’action des Figures & de toutes leurs parties, avec leur rondeur, observer comme elles avancent ou reculent à nos yeux, & conduire son Burin suivant les hauteurs & cavités des muscles ou des plis, élargissant les tailles sur les jours, les resserrant dans les ombres, & aussi à l’extrémité des contours, jusqu’où il faut pousser les coups de Burin pour ne les pas faire
machonés, & soulageant sa main, de sorte que les contours soient formés & conclus, sans être tranchés ni durs. On en peut voir des exemples dans les ouvrages du fameux Edelinck qui a bien possedé cette partie.
Quoique l’on quitte des tailles à l’endroit des muscles soit par nécessité, ou pour les former & en faire l’effet plus commodément, il faut qu’elles ayent toujours certaine liaison & enchaînement de l’une à l’autre : que la premiere taille serve souvent par ses retours à faire les secondes : cela marque une liberté, & ce que l’on grave est d’autant plus beau qu’il paroît fait avec plus de facilité.
Que les tailles soient néanmoins toujours coulées fort naturellement, fuyant les tournoyemens bizarres qui tiennent plus du caprice que de la raison. Mais en même tems on prendra garde de ne pas tomber dans cette droiture, comme beaucoup de jeunes gens font lorsqu’ils veulent graver proprement, parce qu’il leur est plus facile de pousser des coups de Burin peu tournés, que de les conduire suivant ces [p. 108 161] hauteurs & cavités des muscles, qu’ils n’entendent pas, parce qu’ils ne sçavent point assez dessiner.
[n. d. r. : voir également les paragraphes qui suivent, au sujet de la façon de conduire les tailles au burin en fonction des différents sujets :
Du poil, des cheveux, et de la barbe, p. 108 ; De la Sculpture, p. 108-109 ; Des Étoffes, p. 109-110 ; De l'Architecture et du Paysage, p. 110-111 ; Des montagnes, et des eaux, p. 111-112 ; Des nuages, p. 112-113.]

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De la façon de conduire les Tailles.
Premierement on doit regarder l’action des Figures & de toutes leurs parties, avec leur rondeur, observer comme elles avancent ou reculent à nos yeux, & conduire son Burin suivant les hauteurs & cavités des muscles ou des plis, élargissant les tailles sur les jours, les resserrant dans les ombres, & aussi à l’extrémité des contours, jusqu’où il faut pousser les coups de Burin pour ne les pas faire
machonés, & soulageant sa main, de sorte que les contours soient formés & conclus, sans être tranchés ni durs. On en peut voir des exemples dans les ouvrages du fameux Edelinck qui a bien possedé cette partie.
Quoique l’on quitte des tailles à l’endroit des muscles soit par nécessité, ou pour les former & en faire l’effet plus commodément, il faut qu’elles ayent toujours certaine liaison & enchaînement de l’une à l’autre : que la premiere taille serve souvent par ses retours à faire les secondes : cela marque une liberté, & ce que l’on grave est d’autant plus beau qu’il paroît fait avec plus de facilité.
Que les tailles soient néanmoins toujours coulées fort naturellement, fuyant les tournoyemens bizarres qui tiennent plus du caprice que de la raison. Mais en même tems on prendra garde de ne pas tomber dans cette droiture, comme beaucoup de jeunes gens font lorsqu’ils veulent graver proprement, parce qu’il leur est plus facile de pousser des coups de Burin peu tournés, que de les conduire suivant ces [p. 108 161] hauteurs & cavités des muscles, qu’ils n’entendent pas, parce qu’ils ne sçavent point assez dessiner.
[n. d. r. : voir également les paragraphes qui suivent, au sujet de la façon de conduire les tailles au burin en fonction des différents sujets :
Du poil, des cheveux, et de la barbe, p. 108 ; De la Sculpture, p. 108-109 ; Des Étoffes, p. 109-110 ; De l'Architecture et du Paysage, p. 110-111 ; Des montagnes, et des eaux, p. 111-112 ; Des nuages, p. 112-113.]

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& il est certain qu’avant l’invention de l’eau forte il manquoit quelque chose à la Gravûre, surtout pour bien rendre les tableaux d’histoire lorsqu’ils sont peints avec facilité & hardiesse.
Les Portraits demandent à être faits au Burin & l’on voit peu d’exemples que ceux que l’on a avancés à l’au forte [sic] ayent bien réussi. L’expérience fait voir que quoiqu’il y en ait quelqu’uns qui soient estimés comme ceux de Morin, Suyderhoof & autres, néanmoins ceux de Nanteuil, Edelinck, [p. Xxiv 28] & Drevet, sont les chefs-d’oeuvre les plus estimés en ce genre ; la raison de cette préférence vient de la façon différente dont on peint l’histoire & le portrait. Dans l’histoire on supprime toutes les petites parties pour s’attacher aux grandes, & l’on peint sans s’arrêter à des détails peu importans, comme seroient les cristallins & paupieres ou petits plis qui environnent ordinairement les yeux : l’on néglige de marquer sensiblement les différentes petites demi-teintes qi se trouvent entre les ombres & les jours, ou si on le fait, c’est de maniere qui ne paroît point recherchée, & qui est toûjours subordonnée à l’effet général du Tableau. Le Peintre entierement maître de son sujet, & n’ayant point d’objet particulier en vûë qui puisse l’attacher servilement, n’est occupé que du soin de former des traits grands & hardis qui puissent concourir à l’intelligence générale du sujet.

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C’est ce fini & cette exécution précise qui est parfaitement rendue par la propreté du Burin ; au lieu que le pinceau libre de l’histoire est mieux rendu par la hardiesse & la facilité de la pointe à l’eau forte. 
On peut en donner pour exemple les morceaux d’histoire gravés par
P. Drevet le fils, qui sont admirables pour la finesse [p. XXV 29] & la beauté du travail, mais beaucoup trop finis pour le caractere de l’histoire, ce qui fait dire aux gens de goût que c’est un fort beau travail mais très-déplacé, & qui ne sert qu’à faire paroître les figures comme si elles étoient de bronze. On peut voir aussi la famille de Darius gravée par Edelinck dont la gravûre quoique parfaite pour le Burin, est beaucoup moins convenable dans un pareil morceau, que celle de Gerard Audran. On remarquera à cette occasion que plusieurs Graveurs au burin très-habiles, entr’autres Bolswert, ayant à graver des sujets d’histoire, ont imité autant que le burin le peut faire, ce désordre pittoresque & ce mélange de travail que l’eau forte produit avec tant de succès. 

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Laissons donc la Gravûre au Burin briller dans l’exécution des portraits où l’eau forte n’est pas si heureuse, & réservons-la pour les morceaux d’histoire où elle répand plus de goût & de facilité, & pour le petit à qui elle donne un esprit & un caractere de dessein que le Burin auroit bien de la peine à imiter.

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L’expérience fait voir que quoiqu’il y en ait quelqu’uns qui soient estimés comme ceux de Morin, Suyderhoof & autres, néanmoins ceux de Nanteuil, Edelinck, [p. Xxiv 28] & Drevet, sont les chefs-d’oeuvre les plus estimés en ce genre ; la raison de cette préférence vient de la façon différente dont on peint l’histoire & le portrait.

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Le Portrait se peint à la vérité suivant les mêmes principes, mais avec cette différence que l’exactitude avec laquelle le Peintre suit le modéle qu’il a devant les yeux, l’oblige à rendre avec le plus grand soin tout ce qu’il découvre dans la nature jusqu’aux moindres choses, parce que c’est souvent de-là que dépend la fidele ressemblance. Ayant fini la tête avec une si grande précision, il est obligé de terminer le reste à proportion, sans cela il ne paroîtroit qu’une ébauche en comparaison de la tête. C’est ce fini & cette exécution précise qui est parfaitement rendue par la propreté du Burin ; au lieu que le pinceau libre de l’histoire est mieux rendu par la hardiesse & la facilité de la pointe à l’eau forte.

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De la façon de conduire les Tailles.
Premierement on doit regarder l’action des Figures & de toutes leurs parties, avec leur rondeur, observer comme elles avancent ou reculent à nos yeux, & conduire son Burin suivant les hauteurs & cavités des muscles ou des plis, élargissant les tailles sur les jours, les resserrant dans les ombres, & aussi à l’extrémité des contours, jusqu’où il faut pousser les coups de Burin pour ne les pas faire
machonés, & soulageant sa main, de sorte que les contours soient formés & conclus, sans être tranchés ni durs. On en peut voir des exemples dans les ouvrages du fameux Edelinck qui a bien possedé cette partie.
Quoique l’on quitte des tailles à l’endroit des muscles soit par nécessité, ou pour les former & en faire l’effet plus commodément, il faut qu’elles ayent toujours certaine liaison & enchaînement de l’une à l’autre : que la premiere taille serve souvent par ses retours à faire les secondes : cela marque une liberté, & ce que l’on grave est d’autant plus beau qu’il paroît fait avec plus de facilité.
Que les tailles soient néanmoins toujours coulées fort naturellement, fuyant les tournoyemens bizarres qui tiennent plus du caprice que de la raison. Mais en même tems on prendra garde de ne pas tomber dans cette droiture, comme beaucoup de jeunes gens font lorsqu’ils veulent graver proprement, parce qu’il leur est plus facile de pousser des coups de Burin peu tournés, que de les conduire suivant ces [p. 108 161] hauteurs & cavités des muscles, qu’ils n’entendent pas, parce qu’ils ne sçavent point assez dessiner.
[n. d. r. : voir également les paragraphes qui suivent, au sujet de la façon de conduire les tailles au burin en fonction des différents sujets :
Du poil, des cheveux, et de la barbe, p. 108 ; De la Sculpture, p. 108-109 ; Des Étoffes, p. 109-110 ; De l'Architecture et du Paysage, p. 110-111 ; Des montagnes, et des eaux, p. 111-112 ; Des nuages, p. 112-113.]

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& il est certain qu’avant l’invention de l’eau forte il manquoit quelque chose à la Gravûre, surtout pour bien rendre les tableaux d’histoire lorsqu’ils sont peints avec facilité & hardiesse.
Les Portraits demandent à être faits au Burin & l’on voit peu d’exemples que ceux que l’on a avancés à l’au forte [sic] ayent bien réussi. L’expérience fait voir que quoiqu’il y en ait quelqu’uns qui soient estimés comme ceux de Morin, Suyderhoof & autres, néanmoins ceux de Nanteuil, Edelinck, [p. Xxiv 28] & Drevet, sont les chefs-d’oeuvre les plus estimés en ce genre ; la raison de cette préférence vient de la façon différente dont on peint l’histoire & le portrait. Dans l’histoire on supprime toutes les petites parties pour s’attacher aux grandes, & l’on peint sans s’arrêter à des détails peu importans, comme seroient les cristallins & paupieres ou petits plis qui environnent ordinairement les yeux : l’on néglige de marquer sensiblement les différentes petites demi-teintes qi se trouvent entre les ombres & les jours, ou si on le fait, c’est de maniere qui ne paroît point recherchée, & qui est toûjours subordonnée à l’effet général du Tableau. Le Peintre entierement maître de son sujet, & n’ayant point d’objet particulier en vûë qui puisse l’attacher servilement, n’est occupé que du soin de former des traits grands & hardis qui puissent concourir à l’intelligence générale du sujet.

Quotation

L’expérience fait voir que quoiqu’il y en ait quelqu’uns qui soient estimés comme ceux de Morin, Suyderhoof & autres, néanmoins ceux de Nanteuil, Edelinck, [p. Xxiv 28] & Drevet, sont les chefs-d’oeuvre les plus estimés en ce genre ; la raison de cette préférence vient de la façon différente dont on peint l’histoire & le portrait.

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C’est ce fini & cette exécution précise qui est parfaitement rendue par la propreté du Burin ; au lieu que le pinceau libre de l’histoire est mieux rendu par la hardiesse & la facilité de la pointe à l’eau forte. 
On peut en donner pour exemple les morceaux d’histoire gravés par
P. Drevet le fils, qui sont admirables pour la finesse [p. XXV 29] & la beauté du travail, mais beaucoup trop finis pour le caractere de l’histoire, ce qui fait dire aux gens de goût que c’est un fort beau travail mais très-déplacé, & qui ne sert qu’à faire paroître les figures comme si elles étoient de bronze. On peut voir aussi la famille de Darius gravée par Edelinck dont la gravûre quoique parfaite pour le Burin, est beaucoup moins convenable dans un pareil morceau, que celle de Gerard Audran. On remarquera à cette occasion que plusieurs Graveurs au burin très-habiles, entr’autres Bolswert, ayant à graver des sujets d’histoire, ont imité autant que le burin le peut faire, ce désordre pittoresque & ce mélange de travail que l’eau forte produit avec tant de succès. 

Quotation

De la façon de conduire les Tailles.
Premierement on doit regarder l’action des Figures & de toutes leurs parties, avec leur rondeur, observer comme elles avancent ou reculent à nos yeux, & conduire son Burin suivant les hauteurs & cavités des muscles ou des plis, élargissant les tailles sur les jours, les resserrant dans les ombres, & aussi à l’extrémité des contours, jusqu’où il faut pousser les coups de Burin pour ne les pas faire
machonés, & soulageant sa main, de sorte que les contours soient formés & conclus, sans être tranchés ni durs. On en peut voir des exemples dans les ouvrages du fameux Edelinck qui a bien possedé cette partie.
Quoique l’on quitte des tailles à l’endroit des muscles soit par nécessité, ou pour les former & en faire l’effet plus commodément, il faut qu’elles ayent toujours certaine liaison & enchaînement de l’une à l’autre : que la premiere taille serve souvent par ses retours à faire les secondes : cela marque une liberté, & ce que l’on grave est d’autant plus beau qu’il paroît fait avec plus de facilité.
Que les tailles soient néanmoins toujours coulées fort naturellement, fuyant les tournoyemens bizarres qui tiennent plus du caprice que de la raison. Mais en même tems on prendra garde de ne pas tomber dans cette droiture, comme beaucoup de jeunes gens font lorsqu’ils veulent graver proprement, parce qu’il leur est plus facile de pousser des coups de Burin peu tournés, que de les conduire suivant ces [p. 108 161] hauteurs & cavités des muscles, qu’ils n’entendent pas, parce qu’ils ne sçavent point assez dessiner.
[n. d. r. : voir également les paragraphes qui suivent, au sujet de la façon de conduire les tailles au burin en fonction des différents sujets :
Du poil, des cheveux, et de la barbe, p. 108 ; De la Sculpture, p. 108-109 ; Des Étoffes, p. 109-110 ; De l'Architecture et du Paysage, p. 110-111 ; Des montagnes, et des eaux, p. 111-112 ; Des nuages, p. 112-113.]

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De la façon de conduire les Tailles.
Premierement on doit regarder l’action des Figures & de toutes leurs parties, avec leur rondeur, observer comme elles avancent ou reculent à nos yeux, & conduire son Burin suivant les hauteurs & cavités des muscles ou des plis, élargissant les tailles sur les jours, les resserrant dans les ombres, & aussi à l’extrémité des contours, jusqu’où il faut pousser les coups de Burin pour ne les pas faire
machonés, & soulageant sa main, de sorte que les contours soient formés & conclus, sans être tranchés ni durs. On en peut voir des exemples dans les ouvrages du fameux Edelinck qui a bien possedé cette partie.
Quoique l’on quitte des tailles à l’endroit des muscles soit par nécessité, ou pour les former & en faire l’effet plus commodément, il faut qu’elles ayent toujours certaine liaison & enchaînement de l’une à l’autre : que la premiere taille serve souvent par ses retours à faire les secondes : cela marque une liberté, & ce que l’on grave est d’autant plus beau qu’il paroît fait avec plus de facilité.
Que les tailles soient néanmoins toujours coulées fort naturellement, fuyant les tournoyemens bizarres qui tiennent plus du caprice que de la raison. Mais en même tems on prendra garde de ne pas tomber dans cette droiture, comme beaucoup de jeunes gens font lorsqu’ils veulent graver proprement, parce qu’il leur est plus facile de pousser des coups de Burin peu tournés, que de les conduire suivant ces [p. 108 161] hauteurs & cavités des muscles, qu’ils n’entendent pas, parce qu’ils ne sçavent point assez dessiner.
[n. d. r. : voir également les paragraphes qui suivent, au sujet de la façon de conduire les tailles au burin en fonction des différents sujets :
Du poil, des cheveux, et de la barbe, p. 108 ; De la Sculpture, p. 108-109 ; Des Étoffes, p. 109-110 ; De l'Architecture et du Paysage, p. 110-111 ; Des montagnes, et des eaux, p. 111-112 ; Des nuages, p. 112-113.]

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De la façon de conduire les Tailles.
Premierement on doit regarder l’action des Figures & de toutes leurs parties, avec leur rondeur, observer comme elles avancent ou reculent à nos yeux, & conduire son Burin suivant les hauteurs & cavités des muscles ou des plis, élargissant les tailles sur les jours, les resserrant dans les ombres, & aussi à l’extrémité des contours, jusqu’où il faut pousser les coups de Burin pour ne les pas faire
machonés, & soulageant sa main, de sorte que les contours soient formés & conclus, sans être tranchés ni durs. On en peut voir des exemples dans les ouvrages du fameux Edelinck qui a bien possedé cette partie.
Quoique l’on quitte des tailles à l’endroit des muscles soit par nécessité, ou pour les former & en faire l’effet plus commodément, il faut qu’elles ayent toujours certaine liaison & enchaînement de l’une à l’autre : que la premiere taille serve souvent par ses retours à faire les secondes : cela marque une liberté, & ce que l’on grave est d’autant plus beau qu’il paroît fait avec plus de facilité.
Que les tailles soient néanmoins toujours coulées fort naturellement, fuyant les tournoyemens bizarres qui tiennent plus du caprice que de la raison. Mais en même tems on prendra garde de ne pas tomber dans cette droiture, comme beaucoup de jeunes gens font lorsqu’ils veulent graver proprement, parce qu’il leur est plus facile de pousser des coups de Burin peu tournés, que de les conduire suivant ces [p. 108 161] hauteurs & cavités des muscles, qu’ils n’entendent pas, parce qu’ils ne sçavent point assez dessiner.
[n. d. r. : voir également les paragraphes qui suivent, au sujet de la façon de conduire les tailles au burin en fonction des différents sujets :
Du poil, des cheveux, et de la barbe, p. 108 ; De la Sculpture, p. 108-109 ; Des Étoffes, p. 109-110 ; De l'Architecture et du Paysage, p. 110-111 ; Des montagnes, et des eaux, p. 111-112 ; Des nuages, p. 112-113.]